Lou Sautreau

Lou Sautreau vit et travaille à Bruxelles. D’une recherche formelle alliée à des couleurs choisies naissent des bijoux mouvants et poétiques. Autant d’objets que l’on s’accapare pour leur force personnelle et qui nous font vibrer. Son travail est un voyage entre matériaux, techniques de bijoutier et sensibilité textile.

Chloé Noyon

« Je n’ai pas de matière de prédilection, ce que j’aime, c’est l’acte de faire. C’est l’implication physique du corps, c’est le toucher de la matière, la sensation, l’odeur, c’est l’instinct qui se réveille et peut s’exprimer. Être l’outil, être le feu, être le fil qui prend vie, le temps de raconter une histoire. Puis retomber dans le vide, attendre, hiberner, emmagasiner les flux jusqu’à la prochaine secousse. Tout est affaire de lenteur… » Chloé Noyon

Sabine Herman

« Le souvenir d’un grand-père orfèvre a nourri mon imagination. Chaque créateur traduit son époque dans un langage qui lui est propre. Je laisse la matière me guider et aime m’exprimer à travers elle en étant à son écoute. Formes de nos jours et de toujours, mes bijoux puisent leur force dans leur simplicité. Penser les choses et leur donner forme… Quand une idée se voit ainsi matérialisée et qu’elle prend vie sur le corps, la magie opère. » Sabine Herman
Bague, boucles d’oreilles, alliance, bague de fiançailles, collier, pendentif, le travail de Sabine Herman se décline sous toutes ses formes.

Pascale Lion

Pascale Lion, ou la grâce et l’élégance de la côte de maille revisitée. Jeux de tons irisés sur texture d’acier, de cuivre ou de titane. La lumière sublime la matière, le bijou attire le regard, invite au toucher, surprend.

Kazuko Nishibayashi

Kazuko Nishibayashi partage son temps entre l’Allemagne et le Japon. Elle signe des bijoux d’une grande intemporalité. L’espace et le motif sont au centre de son travail, « pour moi, les espaces vides sont aussi importants que la matière physique ». Entre rigueur et romantisme, l’argent devient sculpture. Ses dentelles et pliages sont déclinés en bagues, broches et pendentifs.

Yoko Takiraï

Les bijoux de Yoko Takiraï et de Pietro Pellitteri, établis à Florence, en Italie, se déclinent en lignes et formes géométriques, bleu, rouge ou or. Les designers articulent leur langage plastique en combinant acier et métaux précieux où le corps devient support d’une architecture minimaliste.

Julie Decubber

C’est l’expérience du voyage qui a donné à Julie Decubber l’envie de sacraliser la matière pour la transformer en objet précieux que l’on porte, que l’on transporte. La vaisselle ancienne est devenue au fil des années l’un de ses matériaux de prédilection. Aujourd’hui installée dans la Drôme, Julie continue de glaner partout où elle se trouve des matières qui racontent la vie des gens.

Anne Goy

Anne Goy, créatrice bruxelloise, jette un pont entre des univers fort éloignés. Designer du livre et du papier, elle s’est intéressée au bijou en y transposant sa technique et ses recherches plastiques. Dans son travail, la couleur jouxte des cuirs de grande qualité, s’insère dans des colliers en papier polyester ou disparait. Autant de matières surprenantes détournées et une grande maîtrise d’un art qu’elle enseigne.

Claudia Hoppe

Claudia Hoppe est designer. Elle vit et travaille à Düsseldorf. Ses bijoux rappellent l’architecture de nos grandes métropoles. Elle part des propriétés techniques des métaux nobles pour donner corps à ses créations. Des bracelets sans fermoir mais non sans émotion accompagne le mouvement au quotidien.

Karen Vanmoll

Karen Vanmol vit à Anvers et enseigne la bijouterie à Bruxelles. Artiste atypique, elle part d’un médium que nous avons tous connu dans notre quotidien, le formica. C’est avec un regard amusé, plein de souvenirs que l’on appréhende son travail. Karen découpe, assemble, joue avec la géométrie et désaxe ses pièces colorées en privilégiant l’asymétrie.